"Dans chacune de ses œuvres, Paul Sanda érige la révolte et l’amour comme remparts face aux projections affairistes de la modernité ; car selon lui, l’écriture s’insinue en l’être comme un sang noir, fait de beautés et d’enfers, comme la seule action individuée (autonome) possible. Et n’oublions pas de souligner l’importance de l’oralité de cette écriture révoltée et brutale ; écriture d’exploration et de pulsions, qui n’est pas seulement destinée à être imprimée sur le papier, mais à être incarnée, vécue et revécue, lue, scandée, chuchotée et vociférée."
Christophe Dauphin.
Je te souhaite peu de choses, puisque tu t'en charges. Merci pour ta lumière, si je peux dire ça, ta façon d'être au monde est précieuse pour qui tu rencontres.
J'écrivais quoi donc ? Ceci. "L'éclat d'une voix dont l'encrier a roulé sous terre sept siècles et sept nuits. Paul étreint entre les mains et la visière une invisible pâte feuilletée, il a des sauts à peine prisonniers de ses talons, et patients. Et puis l'art d'être fier sans orgueil."
Luc Baba